mercredi 2 septembre 2009

Le crime par la pensée est la mort


1984 - Le crime par la pensée est la mort - G.Orwell
envoyé par kinsa. - Regardez plus de films, séries et bandes annonces.

Je ne sais pas si vous avez lu livre ou regardé le film, mais durant cette période de turbulence dans la blogosphère tunisienne je vous conseille ce chef d'œuvre en lecture ou visionnage!!!

L'intelligence est programmée pour la création du différent. [Francesco Alberoni]

8 commentaires:

  1. film terrifiant avec sensation de d'étouffement indescriptible

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  2. Il faut avouer que c'est chiant le manque de différence!!! Pour moi l'autre différent de moi c'est une richesse! Je sais c'est utopique ce que je viens d'écrire mais je le pense sincèrement !! Le début du déclin de toute civilisation commence par le refus de la différence !

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  3. à condition que l'Autre croit en cette différence !

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  4. Je trouve que le livre beaucoup mieux que le film bien que John Hurt a excellé dans ce dernier.
    Big brother vous regarde! on n'est pas encore sorti de cette auberge quelque part dans le monde!
    ;-)

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  5. @ Sleemane

    Bienvenue au blog, moi aussi j'ai préféré le livre au film, mais bon c'est le problème de presque tout bon livre qu'on a lu avant de regarder son adaptation, l'imaginaire qui en découle dans nos têtes est généralement différent de celui du réalisateur!!
    eux !! :) :)

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  6. Le livre m'a beaucoup plu, je dirai même que c'est le meilleur que j'ai eu l'opportunité de découvrir et lire.
    La première fois que j'ai entendu parler de cette légende qu'est le BIG BROTHER il y a 6 ans! Au lycée, un été, cherchant sur le net à propos des protocoles (tcp ip, ftp, smtp et setera) et préparant pour le bac. Premier contact avec l'undeground informatique, musicale et culturelle. Aujourd'hui ça me fait plaisir d'avoir lu l'oeuvre intégrale de G Orwell.

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  7. Ce qui m'a attaché dans le livre c'était, primo,la description minutieuse des lieux, des caractères, des sons et même des odeurs. J'ai pas encore vu le film mais ça lui sera fortement très difficile de transmettre fidèlement ce qu'il y a dans le livre.
    Secundo, l'auteur était très libéré, déchaîné, ce qui lui permettait de mettre à surface son gout affiné. C'est ce que j'aime dans ce genre d'écriture, c'est qu'il nous déchaîne, comme s'il creuse de nouvelles voies dans nos cerveaux, crée de nouvelles synapses, nouveau réseau de neurones qui raffinera notre analyse, autant sociale que ce que vous voulez.

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Allo !