Il suffit que, sur facebook
ou dans l'encadrement d'une fenêtre,
une femme hésite ..., pour être
celle dont j’attends le « pook »
en l'ayant vue apparaître.
Et si sur le clavier s’agitent ses doigts
pour m’écrire des aveux, tendre extase :
combien ma perte par là
gagne soudain d'emphase
et mon malheur d'éclat !
'Nulle part, ô bien-aimée, le monde ne sera comme à l'intérieur de nous-mêmes. Notre vie s'use en transfigurations. Et de plus en plus mince, le dehors, disparaît.' Rainer Maria Rilke - Les Élégies de Duino.
RépondreSupprimerQue Dieu bénisse Facebook, puissions-nous y cultiver, toujours et encore, l'intérieur de nous-mêmes en se contrebalançant du monde, dehors. :D